Dans l'article suivant un sujet fondamental, commun à toutes les activités sportives, sera traité potentiellement à risque: La sécurité; plus précisément le réduction des risques et dangers dans l'activité d'apnée sous-marine.
- Apnée statique : elle est considérée comme la forme la plus pure d'apnée sous-marine. Elle consiste à atteindre le temps maximum d'absence respiratoire ; l'entraînement spécifique consiste avant tout en un entraînement mental (guidé et/ou autogène), une respiration prana-yama (extrapolée du yoga) et des tables spécifiques réalisées aussi bien à sec qu'en piscine.
- Apnée dynamique : comme vous pouvez le deviner d'après le terme lui-même, il représente la discipline de l'apnée sous-marine qui se développe « en mouvement ». Elle consiste à atteindre la plus grande distance possible et mesurable dans une direction « horizontale » (avec palmes ou grenouille sous-marine) ; l'entraînement spécifique se déroule dans la piscine et implique un grand volume de travail organisé par tables ; dans ce cas aussi, l'entraînement mental et la respiration prana-yama ne manquent pas.
- Apnée profonde : qui mesure l'atteinte de la profondeur maximale mesurable au moyen d'un câble de guidage (perpendiculaire au fond) ; à son tour il diffère en 3 disciplines :
- Attitude constante : qui exploite la propulsion du corps (avec palmes ou grenouille sous-marine) aussi bien en descente qu'en remontée
- Réglage variable régulé : qui en descente profite de la propulsion d'un "traîneau" lesté (max 30kg), tandis qu'en remontée il permet la traction des bras sur le câble guide (similaire à une "montée)
- Paramétrage variable NO limit : qui en descente exploite la propulsion d'un traîneau lesté sans limites de masse, tandis qu'en remontée il est facilité par l'entrée d'un ballon gonflé au gaz au moyen d'un cylindre appliqué au traîneau.
L'entraînement spécifique varie dans les trois disciplines et celui de l'attitude constante est plus « physique » que les autres ; dans tous les cas, chaque spécialité comprend un entraînement mental et une respiration prana-jama avec en plus des exercices/exercices de profondeur (pour faciliter la compensation des seins).Le volume spécifique d'entraînement est assez faible et se caractérise par la durée du temps de récupération.
- Saut bleu : L'athlète doit effectuer un parcours horizontal dynamique en apnée, avec palmes ou monopalmes, à une profondeur de 10 mètres suivant un parcours prédéterminé, constitué d'un carré formé par un câble guide de 15 mètres de côté. .start (Start Island) placé en surface, doit atteindre et toucher une cible positionnée à l'extrémité du sommet à une profondeur de 10 mètres, et à partir de ce moment nageoire le long du carré.L'athlète qui parvient à parcourir la plus longue route gagne , puis regagne la surface (source : subaqva).
- Skandalopetra : la plongée en apnée avec le skandalopetra remonte à la Grèce antique, née chez les pêcheurs d'éponges grecs comme technique de pêche et a été relancé avec succès ces dernières années en tant que sport de plongée en apnée. Il s'agit d'une plongée en apnée en poids variable à l'aide d'un " petra" attaché avec une corde comme lest. Un accompagnateur sur un bateau suit la plongée depuis la surface et récupère l'apnéiste avec la petra en soulevant la corde en fin de descente (source Wikipédia)
- La chasse sous-marine : c'est une véritable discipline mixte ; il s'agit de chasse sous-marine du poisson en apnée au moyen d'un fusil (arbalète ou oleopneumatico) capable de tirer un coup à la fois (comme une arbalète ou un arc). La performance est influencée par l'instinct de l'athlète, sa technique de pêche et ses compétences en apnée.
Les risques et dangers pour l'apnéiste sont nombreux et variés ; par conséquent, afin de minimiser les chances d'apparition ou de manifestation malheureuse de ces circonstances, il est conseillé et conseillé d'en comprendre les causes et les conséquences spécifiques.
- Risques et dangers liés à une mauvaise ventilation : hyperventilation
- Risques et dangers liés à une apnée trop prolongée : état pré-syncopal ou Samba et Black-out
- Risques et dangers en oto-rhino-laryngologie (ORL)
- Autres risques et dangers de l'apnée de la plongée
- Risques et dangers liés au milieu marin
- Risques et dangers liés à la faune et la flore marines
- Risques et dangers liés à l'être humain
Risques et dangers liés à une mauvaise ventilation : hyperventilation
La ventilation est sans aucun doute la composante la plus importante dans la préparation à la performance en apnée.L'athlète doit connaître et maîtriser suffisamment les techniques de respiration prana-yama (ventilation profonde, diaphragmatique et contrôlée) qui permettent d'atteindre un excellent niveau d'oxygénation (O2) et psycho-physique. relaxation, alors qu'il faut totalement répudier la pratique de l'hyperventilation forcée (fréquente et non naturelle) (foie) et une attitude mentale adéquate pour gérer son autonomie lors d'apnée. L'hyperventilation, quant à elle, provoque une réduction drastique de la pression partielle de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang, une augmentation de la fréquence cardiaque et une sensation d'ivresse due à l'alcalinisation du sang ; tout cela favorise une augmentation de l'énergie dépense et d'oxygène au repos (diminuant également "l'autonomie de" l'apnée), et REPORTE excessivement la perception de "faim d'air" et de contractions respiratoires diaphragmatiques" VANIFIANT l'action de "cloche physiologique". la ventilation favorise l'autonomie et la conscience de sa condition physique, l'hyperventilation provoque une altération du pH sanguin, induit des vertiges et compromet l'interprétation naturelle des signaux physiques, AUGMENTANT LES POSSIBILITÉS DE BLESSURES DUES À UNE APNÉE TROP PROLONGÉE.
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