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Les personnes âgées souffrent plus que les jeunes et les femmes plus que les hommes.
Les principaux facteurs de risque d'ostéoporose sont :
- Troisième âge
- Sexe féminin
- Facteurs génétiques
- Maladies héréditaires
- Entrée en ménopause et déséquilibre hormonal en œstrogènes
- Autres déséquilibres hormonaux (par exemple, hormone parathyroïdienne, somatotrophine, testostérone) et troubles endocriniens (tels que le syndrome de Cushing)
- Dénutrition prolongée (carence en vitamine D et/ou en calcium), faible exposition au soleil et mode de vie sédentaire, qui sont liés à l'impossibilité d'atteindre le pic de masse osseuse pendant la phase de croissance
- Insuffisance pondérale
- Anorexie nerveuse
- Alcoolisme
- Dépendance au tabac
- Certaines thérapies médicamenteuses, etc.
Le diagnostic peut être posé grâce à une « enquête d'imagerie appelée Minéralométrie osseuse informatisée, qui permet » l'ostéodensitométrie - la classification des stades de l'ostéoporose.
Il n’existe pas de remède contre l’ostéoporose et il est essentiel d’agir préventivement comme suit :
- Surtout dans la phase de croissance et dans la vieillesse, mais aussi dans la phase adulte : maintenir un bon niveau d'activité motrice, assurer les bonnes heures d'exposition au soleil pendant les mois chauds (mais pas ceux nocifs pour la peau), garantir l'apport nutritionnel de vitamine D, calcium, magnésium, phosphore, zinc, sélénium etc.
- Traiter pharmacologiquement les déséquilibres hormonaux
- Adopter un protocole préventif à l'entrée de la ménopause, qui implique une hormonothérapie substitutive (œstrogène), un supplément de vitamine D et de calcium, un protocole de mise en forme ou toute autre activité physique souhaitable
- Éliminer l'alcoolisme et le tabagisme
- Si possible, passez en revue les thérapies médicamenteuses potentiellement responsables.
L'éducation physique doit s'inscrire pleinement dans des protocoles de prévention spécifiques et ciblés de l'ostéoporose.Des études innombrables et faisant autorité ont donné des résultats positifs, démontrés au niveau densitométrique, psychophysique, social et économique, qui conduisent à considérer le mouvement d'activité comme un outil utile pour améliorer la conditions générales de santé propres à ceux qui la pratiquent. On estime que les activités motrices souhaitables capables de favoriser la condition physique générale, en plus de prévenir la perte de masse osseuse (raréfaction), peuvent également permettre de la récupérer à raison d'environ 1 % par an.