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D'intérêt presque exclusivement féminin, la culotte de cheval n'est pas forcément associée à un véritable excès de poids - même s'il est logique de penser qu'avec plus de tissu adipeux on peut avoir des coussinets plus proéminents. Elles sont très rares chez l'homme, chez qui elles apparaissent plutôt accompagnées d'un surpoids généralisé.
Pour beaucoup, les jupes-culottes de cheval sont une véritable imperfection mais, pour être honnête, leur agrément dans le corps féminin peut changer non seulement selon la période historique et la tendance, mais aussi selon les goûts.
Le fait que, chez la femme, les culottes de cheval ne soient pas forcément le résultat d'un excès de graisse a des implications à la fois positives et négatives. D'un côté ils se désolidarisent de ce qu'on appelle les implications négatives sur la santé, de l'autre ils montrent une certaine résistance au remodelage - on ne parle pas, bien sûr, de chirurgie esthétique, mais de régime et de sport.
Cette hostilité particulière est en grande partie due à leur composition. Il s'agit d'une véritable structure tissulaire qui, comme on peut le comprendre, présente toutes les caractéristiques de la panniculopathie œdémateuse fibreuse, c'est-à-dire de la cellulite.
Même la culotte de cheval, comme toutes les zones touchées par la cellulite, peut être classée selon la gravité de la sclérotisation ; leur réponse physiologique à une « correction possible dépend en grande partie de cette variable.